Tuesday, April 16, 2013

Weekly Round-Up: St Theresa's Parish and NE, SJfest, FMJ, OCSLC Saint of the Wk: Kateri Tekakwitha


On the Second Sunday of Easter (or Divine Mercy Sunday), St. Theresa of the Child Jesus Parish held the first of what will become a series called "Faith Seeking Understanding". 

The pastor Fr. Vincent Pereira invited me to preside at the Sunday Eucharist at 10:30 and to give an address in the parish hall afterwards on the New Evangelization based in God's Word.

The event's planners gathered copies of the Bible in some thirty-plus translations (I am shown admiring a Greek New Testament) and the Word of God as the foundation of our faith was underlined in the enthronment of the Bible, which was decorated with roses (the symbol of the parish patron).

After a brief prayer service, all who attended were treated to a delicious luncheon, following which I made my presentation and took a few questions from the floor before we wrapped up our meeting around 1:15PM. 

A wonderful start to a promising series.  [Father Pereira made the photos available to me.]












* * * * * *

THE JESUIT PROVINCIAL'S FEAST:
MASS AND FESTIVE BENEFIT DINNER



For several years now, the Jesuit Provincial's Office has organized a benefit dinner in support of our Jesuits in English Canada Province, particularly for our men in formation and for our senior men receiving care at the St. Rene Goupil Province Infirmary in Pickering. 

I always enjoy this occasion which honours our Golden Jubilarians (four this year: Wayne Bolton, John Burns, James Deshaye and George O'Neill) and at which the Magis Award is granted to a recipient or recipients who manifest extraordinary service to the Church and Society.

This year the award was conferred on the Sisters of Loretto (also known as the Institute of the Blessed Virgin Mary), who have as their rule of life constitutions similar to those of the Society of Jesus (as Mary Ward had wanted her institute to serve the Church in the same way as the Company of Jesus).

Father Provincial Peter Bisson presided at Mass in St. David's Church, in Maple, and the dinner was then held at Le Parc Banquet Hall in Concord. 

The newly-arrived Regional Auxiliary Bishop of the Northern Region of the Archdiocese of Toronto, where the celebrations took place, Bishop Wayne Kirkpatrick was also present at the Mass and Dinner.

[Thanks to Marc de Asis, S.J. for the first three photos]



* * *









* * * * * *

UNDERSTANDING THE JESUIT CHARISM


The election of Pope Francis, a Jesuit, has led many to seek to know more about the spirituality of his religious community, the Society of Jesus.

A group of young Canadian Jesuits has answered this need on their blog (Ibo et Non Redibo), discussing such themes introduced by St, Ignatius Loyola (pictured below) as "discernment of spirits", "AMDG" or "Magis", "men and women for others", "holy indifference", "depth and creativity" and "thinking with the Church".




* * * * * *

FAMILLE MARIE-JEUNESSE


Récemment, la Famille Marie-Jeunesse (FMJ) nous ont visité et prêché l’Évangile avec joie et paix dans la paroisse St-Joseph d’Orléans et à l’École secondaire Garneau.

Avant de quitter pour Fort-Coulogne, diocèse de Pembroke, ils et elles m’ont rendu visite pour un léger repas jeudi passé.

FMJ have the goal of evangelizing “for the joy and beauty of God” inspired by the life of Our Blessed Mother Mary. After recent ministry in St. Joseph’s Parish and Garneau secondary school in Orleans they came by my residence for conversation and a light lunch:

Quelques photos / some photos:





* * * * * *

ONTARIO CATHOLIC STUDENT LEADERSHIP CONFERENCE


From Thursday evening to Saturday noon last week, some three hundred leaders in our Catholic high schools as well as student trustees from across Ontario came together in Ottawa to share their faith and aspirations and to discuss the Catholic graduate expectations document.  

Among the speakers was Bishop Douglan Crosby, OMI of Hamilton who challenged all of those attending to live in gratitude, generosity and sacrificial love. I presided at the gathering's Closing Mass at Notre Dame Cathedral Basilica.  They are a real inspiration!

Congratulations to the Ottawa Catholic School Board and the Catholic District School Board of Eastern Ontario on an excellent gathering that fostered the Catholicity of our schools. 









* * * * * *

SAINT OF THE WEEK ST. KATERI TEKAKWITHA (APRIL 17)


Almighty ever-living God, who called Saint Kateri Tekakwitha to live as a consecrated virgin among her people, grant, we pray, through her intercession, that the peoples of every tribe, language, and nation, gathered into your Church, may together praise your name.  Through our Lord Jesus Christ....
Mass at St. Francis Xavier Church, Kahnawake, QC where Kateri's tomb is found

The following article was published in the mission magazine of the French Canadian Jesuits (Le Brigand): excerpts of a transcript of an interview conducted by Fr. Pierre Belanger while we were in Rome for the Canonization of St. Kateri last October:

PB : Mgr Prendergast, qu’est-ce que vous retenez surtout de la vie de Kateri ?


TP : C’est le don total de soi-même qu’elle a fait depuis le commencement de sa vie de foi. Elle ne faisait pas que des petites choses, mais elle donnait tout au Seigneur. On voulait la marier mais elle a voulu donner toute sa chasteté au Seigneur. L’idée du don total, voilà ce qui la caractérise. Elle avait appris que Jésus avait tout donné pour elle, elle voulait donc lui donner tout. Elle faisait aussi, bien sûr, des petits gestes qui manifestaient son amour : par exemple, elle faisait des croix sur les arbres dans la forêt pour se rappeler qu’il faut prier chaque jour. Pour moi, tout cela démontre qu’une personne peut, toute jeune encore, se donner au Seigneur en signe d’action de grâce pour ce que le Seigneur lui a donné.

PB : Vous avez eu l’occasion de rencontrer l’une ou l’autre personne qui manifestaient leur attachement, leur dévotion à Kateri. Pouvez-vous nous parler de ces témoignages ?

En effet, sur le vol d’Air Canada qui allait de Toronto à Rome, il y avait un grand nombre de pèlerins du Nouveau-Mexique, dont une dame autochtone qui avait une grande dévotion à Kateri et qui m’a dit : « Oh, combien je suis heureuse ! Je suis très heureuse qu’elle soit canonisée, je voulais absolument être présente ». Elle était avec son mari. Elle est de la nation des Pueblos et il y avait aussi des Navajos. Quand je suis allé aux États-Unis pour participer à un programme de formation pour les futurs diacres permanents du Dakota, j’ai constaté qu’ils étaient eux aussi très attachés à Kateri tout comme à Juan Diego – un jeune autochtone mexicain qui a contribué à répandre le culte de Notre Dame de Guadalupe. J’ai appris qu’il y a une association, basée au Montana, aux États-Unis, qui s’appelle la Tekakwitha Conference. Au Canada, dans le nord de l’Ontario, j’ai rencontré une grande dévotion à Kateri et, enfin, en Nouvelle-Écosse, où j’étais archevêque, j’ai connu des Micmacs qui avaient eux aussi cette dévotion à Kateri Tekakwitha. On peut dire que c’est une dévotion qu’on trouve partout en Amérique du Nord.


PB : Quels liens faites-vous entre Kateri et les jésuites ? Pourquoi sont-ce les jésuites qui se sont occupés de la canonisation de Kateri ?

TP : Au 17e siècle, ce sont les missionnaires jésuites qui, les premiers, ont reconnu la qualité chrétienne de cette jeune fille. Elle s’était convertie alors qu’elle vivait à la mission jésuite située dans la zone où se trouve maintenant Auriesville, dans l’État de New York. Les jésuites qui l’ont accueillie à Kahnawake l’ont ensuite accompagnée. Quand, comme prêtres ou comme missionnaires, on découvre des personnes qui sont proches du Seigneur, on veut parler d’eux. C’est ce que les jésuites du 17e siècle ont fait en écrivant la vie de Kateri. C’est ensuite ce que des jésuites ont fait au 20e siècle en soutenant la cause de sa canonisation.

C’est la même chose, dans le nord Ontario, pour ce qui regarde Joseph Chiwatenhwa, l’un des premiers autochtones à accepter la foi chrétienne grçace à ses contacts avec les jésuites. Lui et son épouse étaient devenus des catéchètes au milieu de leur peuple. Il y a maintenant un mouvement, pas aussi étendu que celui qu’on a connu en faveur de Kateri, pour commencer le procès de canonisation de Joseph, mais plus encore de Joseph avec son épouse. Le Saint Père [Jean-Paul II] et le Saint Siège s’intéressent beaucoup à la promotion de causes de couples, des gens qui ont vécu ensemble la vie du mariage.

Je reviens à sainte Kateri : en Nouvelle-Écosse, chez les Micmacs, on avait une église qui s’appelait Sainte-Catherine-de-Sienne. Or, le prénom de Kateri lui a été donné en référence à sainte Catherine, car Catherine était aussi une jeune femme qui avait donné toute sa vie au Seigneur. Je pense bien que la communauté des Micmacs va maintenant demander à l’archevêque de changer le nom de leur paroisse pour celui de Sainte-Kateri-Tekakwitha.

PB : En terminant, pensez-vous qu’on puisse encore aujourd’hui considérer Kateri comme faisant partie de la famille jésuite ?

Certainement. Pourquoi donc ? Parce que toute sa vie elle entretenait cette idée : chercher la volonté du Seigneur. Et c’est quelque chose qu’on apprend comme jésuite : discerner la volonté du Seigneur, non seulement au commencement de sa vie mais tout au long de la vie. Et cette volonté peut changer au long des ans. Kateri, à Kahnawake, avait des liens avec c’autres femmes proches du Seigneur. Elle s’était posé la question de la possibilité de fonder une communauté religieuse pour les autochtones. Les missionnaires ont discerné que, dans le contexte de l’époque, ce n’était pas à propos. Alors, elle a continué à chercher la volonté du Seigneur dans d’autres voies. Je pense que c’est une manière de faire qui est pertinente pour toute personne, les jeunes comme les moins jeunes.


1 comment:

  1. revenge Linton and his sister Elizabeth,after within, tattoo onlineprobation and Yinkaiselinabsolutely love wilduncovered significantly sharpbefore occupythe majority

    ReplyDelete